Diner Concert 5 Novembre

VENEZ DECOUVRIR LES NOUVEAUX TALENTS DE NOS REGIONS
Au profit des sinistrés du Japon

Avec 6 chanteurs :  Maxime David, Nancy, Mathieu Berthomé, Maéva, Dominique et Karine

Présentation : J-Pascal Delcroix et J-Guy Bret

Sonorisation Guillaume Benoit

Tous les artistes sont bénévoles

Soirée organisée avec l’accord et la collaboration du comité de jumelage « Rennes – Sendai »

Menu :
> Cocktail Maison
> Filet de Merlu au beurre citronné
> Sauté de veau et ses petits légumes
> Assortiment de fromages
> Gâteau à la poire chocolaté et sa crème anglaise
> Café

> Tarif : Adulte 24€
> Enfant 10€ (12 ans maxi)

> Réservations par mail à jgb-85@orange.fr et nancy.audibert@hotmail.fr
> Tél : 07 61 29 79 61

La profession ostréicole au secours des huîtres nippones

Sauvés à deux reprises en 40 ans d’activité par les huîtres nippones, les ostréiculteurs bretons et charentais ont acheminé 7 t d’aide à leurs homologues japonais. Une seconde cargaison de plus de 3,6 t suivra d’ici le 10 juillet.

Bouées, cordages, vêtements de pêche : c’est 7 t de matériel divers qui sont arrivées ce matin à l’aéroport de Narita, près de Tokyo en provenance du Finistère et de Charente-Maritime. Un course contre la montre est désormais engagée pour livrer le tout aux ports de Kesennuma et Miyako -dévastés par le tsunami- avant le 15 juillet. Date-butoir pour le captage des naissains, un captage qui consiste à fournir un support solide aux embryons — ou larves — pour qu’elles s’y fixent.

 


Une aide vitale
L’opération a été baptisée « France o-kaeshi » (France cadeau en retour) en souvenir de l’aide apportée par les ostréiculteurs nippons aux fermes françaises touchées par une épizootie en 1970 et 1990, souligne-t-on du côté de l’ONG PlaNet Finance Japan, chargée de coordonner le projet lancé par Mulot SAS, premier fabricant mondial de matériel pour l’ostréiculture

Conservatoire mondiale de l’huître
Le succès de l’opération est d’autant plus vital que la région du Sanriku -où se situent les ports destinataires- est considérée comme « le conservatoire mondial de l’huître ». 80 % des naissains au Japon viennent de Sanriku et à chaque fois qu’un pays souffre d’une épizootie, il fait appel à cette région pour sauver son cheptel. »

La profession ostréicole -qui devait y passer commande de naissains au printemps dernier– en sait quelque chose. Le tsunami en a décidé autrement.

 

Source: Le Télégramme

http://letelegramme.com/ig/generales/france-monde/france/tsunami-la-profession-ostreicole-au-secours-des-huitres-nippones-06-07-2011-1362079.php